lazarus effect. (freya)

(freya lazarus)

" quand les souvenir s'en mêlent, les larmes me viennent, et le chant des sirènes me replonge en hiver . oh mélancolie cruelle, harmonie fluette, euphorie solitaire. "

feat. crystal reed | © img ~ google

nom et prénom : lazarus, freya elena. date et lieu de naissance : 17 avril 1986, à New-York. âge : vingt-neuf ans. origines et nationalité : origines grecques et américaines, nationalité américaine. orientation sexuelle : hétérosexuelle. statut civil : célibataire. occupation : lieutenant de police. situation financière : normal. allégeance : réponse à donner seulement si vous êtes employé d'un cabinet. traits de caractère : caractérielle + ambitieuse + têtue + passionnée + intransigeante + souriante +impulsive + impatiente + loyale + généreuse.

Personality is an unbroken series of successful gestures.
tu es passionnée par ton métier, tu vis pour celui-ci, tu n'as peur de rien en ce qui le concerne et tu en est très fière. + tu possède un berger australien blanc et marron, prénommé jam qui est âgé de deux ans. + tu as été une jeune fiancée auparavant, il y a de cela trois ans tu vivais une jolie histoire d'amour, la seule qui paraissait pouvoir durer mais quelques semaines avant le mariage tu as pris la fuite. tu as peur de l'engagement, tu as peur de perdre ton train de vie que tu as actuellement, ta maladresse revient toujours. + tu es sportive, tu cours au moins trois fois par semaine et tu te rends à la salle de sport dès que tu le peux, tu as besoin d'un entraînement régulier. + tu déteste le café mais tu es fan de cappuccino, tu ne pourrais pas t'en passer. + malgré ton activité qui te prends beaucoup de temps, tu aimes beaucoup passer des soirées chez toi devant des séries que tu dévores, avec du chocolat blanc car c'est ton pêché mignon. + tu as un tatouage dans la nuque, le signe "infinity" en référence à ton papa que tu as perdu il y a quelques années. il était également policier là ou tu es, mais suite à une intervention il a perdu la vie. + tu sors quelques fois dans des bars avec tes amis pour décompresser, tu vas danser, tu vas t'amuser mais ton travail prends toujours beaucoup de place dans ta tête. + l'amour et toi, ça fait dix. tu as peur qu'un homme t'empêche de vivre ta passion, de rendre hommage à ton papa comme tu le fais chaque jour. tu as peur de ne plus être aussi libre dans ta vie et dans tes choix pourtant il t'arrive encore de rêver d'une vie de famille bien rangé. + tu as commencé des études en droit à dix-huit ans, ton but étant de rentrer dans le domaine pénal mais au bout de deux ans tu as tout quitté pour entrer dans la police. + tu ne te laisses pas faire, tu ne mâche pas tes mots et dire ce que tu penses ne te fais pas peur, mais paradoxalement tu ne parles quasiment jamais de ce que tu ressens. tu souris à plein temps, tu respire la joie de vivre mais tu reste mystérieuse, tu essai du mieux que tu peux de ne pas mélanger ta vie professionnelle et ta vie personnelle, quand tu rentre le soir à la maison tu oublie ce que tu as fais dans la journée surtout après de graves affaires.   

The secret to creativity is knowing how to hide your sources.

c'était un jour de juin, le soleil commençait déjà bien à chauffer le sol et la plupart des habitants se promenaient déjà en manche courte et pieds à l'air. toi, tu te trouvais dans ton jardin en train de jouer avec une poupée que tu adorais particulièrement, tu l'avais même appelé sam en référence à un dessin-animé que tu regardais tout le temps. Freya, viens voir s'il-te-plait ma chérie, entendais-tu de l'intérieur de la maison, il s'agissait de la voix de ton papa. du haut de tes un mètre vingt, tu quittais le jardin et te rendais à ta maison où tu trouvais ton père assis sur le canapé, posant un regard remplit de tendresse sur toi. malgré tes cinq ans et demi, tu connaissais ton papa et tu sentais que quelque chose l'embêtait. Ça ne va pas papa ? demandais-tu, ce qui le faisait sourire. Papa va bientôt partir pendant plusieurs semaines, demain matin exactement, te disait-il. Tu t'en vas pour ton travail ? demandais-tu, car en effet tu savais déjà que le travail de ton papa prenait beaucoup de temps et qu'il partait souvent pour cette raison. Oui, pour mon travail. Rick a besoin de moi dans l'état voisin pour quelques semaines, tu seras sage avec maman ? rick était le partenaire de ton papa, tu le connaissais très bien car il venait souvent avec sa fille qui avait ton âge manger le dimanche midi, tu l'aimais beaucoup. Oui, je suis toujours sage moi ! il te prenait dans ses bras en riant, embrassant ton front par la même occasion. T'es le meilleur des policiers, plus tard, je voudrais être comme toi ! avais-tu dis à son intention. tu n'avais pas vu son regard plein de fierté car, tu ne faisais pas attention à toutes ces choses-là, mais pourtant il avait adoré entendre cela venant de sa fille chérie.

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installée dans la chambre de ta copine, sienna, la fille du partenaire à ton papa, vous parliez des ragots du lycée et de tout ce que deux jeunes adolescentes pouvaient bien avoir à se dire. Tu penses quoi de Andrew ? Ou de Damian ? Ou de ... disait sienna, les yeux rivés sur une photo de classe où se trouvait tous les garçons de votre classe de terminal. Arrête, ils ne sont même pas intéressant ! disais-tu en riant en t'installant à côté d'elle. vous vous connaissiez depuis toujours, vos papas étant tous les deux policiers et partenaires, vous passiez le plus clair de votre temps ensemble c'est donc tout naturellement que vous soyez devenu les meilleures amies du monde. Forcément, tu leur parles quasiment pas, Freya! Marc regarde, je suis sûr tu l'adorerais ! elle n'avait pas tort, tu n'étais pas ce genre d'adolescente à courir après les garçons et à te faire remarquer. tu étais déjà très maladroite avec tout ça et tu n'étais pas douée pour faire les premiers pas. Roh, ça va. J'irais lui parler demain, disais-tu pour ta défense, même si tu savais qu'au fond tu n'irais pas. Tu vas où à l'université l'année prochaine ? demandais-tu à ton amie. Columbia, mais je crois que je vais faire médecine, te répondait-elle. Mais non ?! Viens en droit avec moi ! Sienna, s'il-te-plait, disais-tu avec des yeux de merlan-frit pour la faire craquer. Je croyais que tu voulais entrer dans la police ? Oui, mais mon père ne voudra jamais, puis si je passe par le droit je pourrais entrer en criminologie après et je sais que tu adores ça toi aussi, alors tu viens. elle allait accepter, tu le savais car, vous aviez cette même adoration pour ce monde-là. toi tu rêvais de ce côté pénal, criminologie, oui elle avait raison, tu adorerais entrer dans la police mais, ton papa ne te laisserais jamais y aller, il trouverait cela trop dangereux. bien sûr, tu ne savais pas qu'en réalité il aurait adoré cela.

*

Tu veux arrêter l'université ?! Freya, cela fait déjà deux ans, tu es proche de ta licence pour ensuite commencer la criminologie c'est pas ce que tu voulais ?! disait ta maman, pas énervée mais très surprise de ton choix. tu avais vingt ans et cela faisait déjà deux ans que tu étudiais le droit à l'université dans le but d'entrer en criminologie. mais voilà, la police te faisait de l'odil depuis tellement de temps, tu sentais que tu perdais ton temps à l'université, tu voulais du terrain, tu voulais être comme ton papa. Je sais maman, je pensais vraiment que c'était ce que je voulais... Mais j'ai envie d'entrer dans la police, j'ai toujours adorée cela. disais-tu en posant tes yeux sur elle, puis sur ton papa. La police ma chérie... c'est dangereux, c'est psychologique, tu ... commençait à dire ta maman, mais c'est finalement la voix de ton papa qui la coupait. Elle sait comment c'est la police, elle est venue avec moi pleins de fois au bureau, disait-il en regardant sa femme, pour finalement reposer à nouveau ses yeux sur toi. Freya, ce n'est pas un choix anodin, tu vas devoir passer les diplômes pour entrer, c'est sportif, physique, moral. Je sais papa, je me suis renseignée sur tout, te défendais-tu. Je sais que tu sais, puce. Je veux juste que tu sois sûr de ton choix, c'est tout. tu savais que tes parents ne se mettraient jamais à l'encontre de tes choix, mais avoir leur accord était très important pour toi, tu avais besoin de savoir qu'ils te soutenaient dans tout ce que tu entreprenais. Je veux entrer dans la police, tu m'as donnée ta passion papa, je veux faire ce métier-là, disais-tu. tu savais qu'à ce moment-là il était très fier de toi, tu pouvais le lire dans ses yeux et dans les deux sourires que te faisaient tes parents. c'était un métier à risque mais c'était un domaine qui te plaisait depuis toujours, quelque chose qui te faisait rêver davantage chaque jour. On sera toujours derrière toi Freya, tu le sais. disait ta maman, tu te levais alors pour les embrasser un à un chacun leur tour et les prendre dans tes bras.

*

tu claquais la porte de la chambre, sentant ton cœur battre bien plus rapidement que la normale. tu t'installais sur ton lit, enfin anciennement ton lit car, tu te trouvais dans une chambre qui se trouvait être la tienne lorsque tu vivais encore chez tes parents. âgée de vingt-six ans, tu possédais désormais un appartement en ville que tu partageais avec ton fiancé, fiancé qui devait normalement devenir ton époux dans trois mois. Freya ? C'est moi, Sienna, ouvre s'il-te-plait, disait-elle à travers la porte. C'est ouvert, répondais-tu en essuyant tes joues des dernières larmes qui avaient coulé, de nerfs. elle entrait dans la pièce en fermant la porte derrière elle, pour finalement venir s'asseoir à tes côtés sur le lit. elle ne disait rien, elle te connaissait très bien et savait que si tu voulais parler, tu le ferais sans que l'on t'y force. Je peux pas, Sienna. Tout ça, le mariage, les engagements, c'est pas moi, je peux pas, disais-tu, presque paniquée. Eh eh eh, Freyou, calme-toi, disait-elle. Pourquoi, pourquoi tu dis cela ? Tu le sais, c'est pas moi tout ça, Sienna. C'est comme si on me mettait des menottes, enfin... j'veux dire, j'adore Mike, mais je veux pas m'engager. et c'était bien la seule raison qui te poussait à vouloir tout abandonner, l'engagement. ta maladresse revenait aujourd'hui, tu avais dit oui à sa demande car, tu n'avais pas eu le courage de dire non. mais tu ne te voyais pas mariée, pas entrer dans ce cliché de la vie de famille, de l'épouse bien rangé. pourtant tu l'aimais beaucoup, mais les préparatifs t'ayant plongé dedans t'avais totalement effrayée, tu ne voulais plus de ça. ton métier te prenait énormément de temps et tu voulais vraiment t'y consacrer, l'engagement personnel n'était pas encore pour toi. ta meilleure amie comprenait, elle-même était désormais dans un métier à risque et qui prenait beaucoup de temps, cela te faisais du bien qu'elle comprenne. il ne restait plus qu'à l'annoncer officiellement et ça n'allait pas être une tâche facile.

*

aujourd'hui, âgée de vingt-neuf ans ta vie n'a pas tellement changé que cela. tu es désormais lieutenant de police et tu t'es battue pour atteindre ce grade-là. tu as perdu ton papa il y a deux ans, tu n'as toujours pas fait ton deuil entièrement et tu travailles particulièrement pour sa mémoire. tu n'as jamais revue ton fiancé, enfin ex-fiancé car tu as coupé tous les ponts avec lui après ta fuite. tu as eu honte car tu sais que tu l'as blessé et qu'il ne s'attendait pas à une telle tournure de l'histoire, mais tu ne regrette pas. le mariage t'avait effrayée, tout le monde te parlait de famille, de mère de famille et toi, non, ce n'était ce que tu voulais. pas dans un avenir proche en tout cas. trois ans après, tu ne te vois toujours pas rangée ou autre, mais cela t'arrive de t'imaginer maman, avec une famille. tu approches de la trentaine et cela n'est pas anormal d'y penser mais, ton travail passe encore et toujours avant. les hommes tu n'y vas pas trop, tu es réservée et mystérieuse mais lorsqu'on te connaît, tu respires la joie de vivre et tu adores rire. la vie a encore beaucoup de choses à te faire vivre et tu le sais, tu n'attends que cela, sous quelques réserves évidemment.

 

pseudo et prénom : sunseapink / cha. âge : vingt ans. commentaire(s) : merci de faire honneur aux étudiants en droit qui sont totalement fan de ce monde-là !    mot de la fin :