✻ GLADIATORS IN SUITS.

(juliet howern)

i can feel it coming in the air tonight, ô lord. i've been waiting for this moment all my life.

feat. margot robbie | © margotdaily.tumblr ~ phil collins

nom et prénom : Tu es née Howern, un nom que tu portes avec une immense fierté. Tes parents t'ont nommée Juliet, il s'agit du prénom de ta marraine. Celui-ci est suivi d'Ingrid, faisant écho à tes origines scandinaves. date et lieu de naissance : Tu as vu le jour un trente-et-un mars, ici-même, à Washington D.C.. âge : Tu viens de fêter tes vingt-quatre ans. origines et nationalité : Américaine, tu possèdes quelques origines suédoises du côté maternel. orientation sexuelle : Bisexuelle refoulée, tu ne l'assumes pas. Tu ne veux pas l'être. Et pourtant, tu aimes autant les hommes que les femmes, mais tu ne te l'avoueras jamais. statut civil : Tu es officiellement célibataire, mais il s'avère que tu as un certain don pour te fourrer dans le pétrin. occupation : Avocate, tu débutes dans le métier, mais tu es pleine d'ambition. Il s'avère que tu es déjà un requin en devenir. situation financière : Très riche, ton appartenance à la famille Howern y est pour beaucoup. allégeance : Cabinet Howern, family is everything. traits de caractère : Intelligente ~ perspicace ~ ambitieuse ~ manipulatrice ~ cassante ~ persévérante ~ prétentieuse ~ passionnée ~ possessive ~ impatiente ~ conspiratrice ~ fidèle ~ jalouse ~ rancunière ~ fière ~ obstinée ~ éloquente.

pseudo et prénom : .portishead/Océane. âge : la majorité. commentaire(s) : beau travail mot de la fin : love you guys

Tu ne sourcilles pas au vacarme provoqué par la chute des objets encombrants le bureau. Tout ce que tu recherches, c'est le contact physique, la sensation de sa peau contre la sienne, à mesure que ses lèvres parcourent ta gorge. Tu te fiches éperdument de ce crayon se plantant dans ton dos, les jambes autour de sa taille. Vous n'avez que quelques minutes devant vous, quelques minutes que tu as attendu toute la journée. « I've brought you the paper you asked for, » te murmures t-il alors que ses mains remontent le long de tes jambes nues. Tu frissonnes, tu as des difficultés à penser au dossier en question, tant il te distrait. Tu peux en effet voir ce que tu lui as demandé, du bout du regard. Tu tends une main, essayant d'attraper le dossier. Il te le faut, il te donnera une longueur d'avance, tu en es certaine. « Don't be silly, darling. I want my favor back, did you forget ? » Tu soupires bruyamment. Tu as l'impression de ne pas compter. Et pourtant, tout repose sur cet accord. Fragile, instable, mais essentiel, pour lui comme pour toi. « I didn't forget you. I've got your file. Informations about your boss for my RICO case, right ? » Ta respiration est saccadée, à mesure que tu sens ses doigts remonter le long de ta cuisse, frottant contre le tissu de ta jupe. L'alchimie est indéniable, et ce parce que vous êtes identiques. Ou presque. Tu es plus jeune, moins expérimentée. Il est déjà ce requin, un homme pour qui tu éprouves admiration et mépris. Charismatique, drôle, fin, mais aussi manipulateur et escroc. « I have a question for you, » demandes-tu, brûlant d'impatience. Tu t'étais promise de ne pas éprouver ce genre de passion. Il te pousse dans tes retranchements. A chaque fois. Si tu n'étais plus vierge lorsque tu l'as rencontré, tu as eu de nombreuses premières fois avec lui. Tu repousses tes limites, et tu aimes cela. « Why do you always put the things away from me ? » murmures-tu, étendue au milieu de ce bureau, alors qu'il ouvre ton chemisier, bouton après bouton. Il s'arrête doucement. Tu peux voir son sourire. Tu resserres le peu de distance qu'il y a entre vos deux corps. Tu as besoin de son contact, de lui. Pas seulement des informations qu'il est capable de t'apporter. « Because I appreciate the way you move. » Tu éclates de rire. Tu as besoin de sa présence. Tu es prise d'une douce hystérie, lorsqu'il s'agit de lui. Tu l'aimes. Si ça a d'abord été physique, ça ne l'est plus. Alors, tu obéis à ses demandes. Si tu cherches à en tirer le meilleur profit, tu dis toujours oui. Pour ne pas le perdre. Si elles vont à crescendo, tu continues. Tu l'aimes, d'un amour passionnel, inconditionnel. D'autant plus que tu n'as pas l'assurance que cet amour soit partagé. « You're so good for taking care of me, » ajoutes-tu finalement. Au-delà de l'acte. Au-delà des informations, des cadeaux qu'il peut te faire. Tu sais pourtant qu'avec lui, rien n'est gratuit. « You're important to me, darling. As long as you be mine, I'll be your everything. » Il avait tellement raison. Il suffisait de voir la façon dont tu pouvais t'effondrer en larmes, en réunion, lorsque tu réalisais qu'il te restait quatre heures avant de le voir. Ta famille aurait sûrement honte de toi, si elle avait connaissance de cette relation. Une relation que Cats qualifierait d'abusive, Gena de pathologique. Mais, tu ne peux te passer de lui.