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(raffe hoover)

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feat. jamie dornan | © img ~ cit

nom et prénom : Il tient son nom de famille de son propre père comme ce dernier avant lui soit Hoover. Raffe  n'est que le diminutif de son prénom de baptême - Raffaele - qu'il doit à son arrière grand-père maternel. Un choix de sa mère et dont il reste très fier.  date et lieu de naissance : Il est né durant la saison hivernale, en fin d'année plus précisément soit un certain trente-et-un décembre à Brooklyn (Etats-Unis). âge : Il est actuellement âgé de vingt-neuf années, bientôt une année de plus d'ici quelques mois. Rien de bien changeant selon lui, le monde continue de tourner. origines et nationalité : Bien que de nationalité américaine, il reste très proches de ses racines italiennes à laquelle sa figure maternelle restent également très attachée. Du coté de son père on pourra également noter des origines britanniques. orientation sexuelle : Hétérosexuel. statut civil : Autrefois en couple, il est désormais célibataire. Un statut qui lui convient très bien pour le moment. occupation : Le jeune homme est avocat au sein d'un grand cabinet de la ville. Un choix de carrière qui n'était pas le premier mais qui a finit par le devenir en vue des aléas et du hasard de l'existence. situation financière : Originaire d'un milieu modeste, il n'a toujours compter que par ses propres moyens financiers, il n'en demeure pas moins que les choses sont restées les mêmes. Autant dire qu'il ne manque de rien ni plus ni moins. allégeance : Les Howern. traits de caractère : Logique, calme, perspicace, impassible, communicatif, bon vivant, réfléchit, patient, généreux, méfiant, charmeur, énigmatique, intuitif, responsable (...).

Spoiler:

Le tourne disque laisse échapper le son d'une toupie fatiguée. Un silence de quelques secondes alors que le son mélodieux d'une symphonie classique de Berlioz. Un fond sonore – presque en sourdine – mais assez pour être à la fois agréable pour travailler mais également pour endormir la petite fille de cinq ans qui était allongée sur le canapé du salon. Ton regard protecteur se porte naturellement sur le visage paisible de ta fille, le rayon d'un soleil qui ne cesserait jamais de briller quoi qu'il advienne. Mia faisait partie de ces enfants dont le contact visuel est important afin de conforter son besoin de confiance. Un trait de caractère qui c'était amoindri depuis ta séparation avec sa mère. Un figure maternelle aux abonnés absents depuis sa naissance, un manque que la fillette traduit par bien des expressions et des attitudes que tu peux déceler entre ses lignes. Tu esquisses un sourire bienveillant et fier à la fois avant de reporter tes yeux sur l’écran de ton ordinateur portable. Pour la énième fois, tu relis les lignes d'un dossier qu'un confrère t'avait laissé et dont tu avais désormais la charge durant son absence. Bien que cela soit ton jour de congé, tu n'en demeurais pas moins très pointilleux et assidu dans ton travail. Et si tu pouvais t'avancer dans ce dernier, tu le faisais mais jamais au détriment de ta propre famille. Lunette sur le bout de son nez, tu passes une main sur ta barbe naissante avant de laisser tes doigts taper sur le clavier. Une chorégraphie dont le mouvement et rapide et suit le filon de tes pensées. Ta cliente était bien trop jeune, tu en avais vu des tas depuis ton début de carrière et tu sais que même si le dossier est fermé, le coupable jugé, rien n'est plus pareil. Psychologiquement, les conséquences restent encrées et alors allait de l'avant reste le seul flot d'horizon pour conserver la tête hors de l'eau. Tout le monde fait des erreurs, après tout c'est tout à fait humain, bien que certaines sont bien loin de l'être. Ta plaidoirie aborde une autre page lorsque tu entends que l'on toque à la porte d'entrée. Tu fronces légèrement les sourcils, ton attention rivée sur le visage toujours paisible de ta fille. Tu te lèves, déposant ton ordinateur sur la petite table basse avant de remettre correctement la couverture sur Mia. Une nouvelle solde de coups retentit sur le bois de la porte. Un mardi soir alors qu'une maigre pluie printanière s'abat contre les carreaux, ton intuition se murmure déjà sur l'identité de ton visiteur.    Tu n'es donc guère surpris lorsque tu aperçois Clare sur le pas de ta porte, les cheveux trempés par les gouttes de la pluie, ses traits d'expressions tiraillés entre l'angoisse et la solitude comme il est bien souvent le cas. Elle t'observe sans rien dire, cherchant dans tes yeux l'apaisement qu'elle a besoin avant de hausser les épaules  et de croises ses bras contre sa poitrine. Instinctivement, tu te décales en l'invitant à entrer pendant qu'elle s'aventure un peu plus loin dans le couloir menant à la cuisine et que tu refermes la porte. « Je n'aurais pas du venir, je suis désolée … mais je ne savais pas où aller … je ne veux pas t'embêter avec mes ennuis … Je suis désolée je sais que tu as ... ». Commence-t-elle sa voix oscillant entre gêne et panique. Tu te dirige vers elle, déposant une main solide, sécurisante sur son épaule. « Tu as bien fait, ne t'excuse pas pour ça. Je t'avais dit que si tu avais un souci, tu ne devais pas hésité et tu l'as fait. ». Plus qu'une assertion, tu lui confirmais qu'elle avait fait exactement ce qu'il fallait. Elle t'accorde enfin un maigre sourire, sa main serrant la tienne comme un remerciement silencieux. Clare était détentrice d'un passé peu simple et facile, la vie n'avait pas été tendre avec elle et aujourd'hui elle tentait doucement mais certainement de s'en sortir. Les ombres de son agressions tournoyaient toujours autour d'elle quand bien même le coupable résidait dans une cellule. Seulement, le mal était fait et se reconstruire était pour elle une étape qu'elle devait reprendre petit à petit. Une affaire dont t'étais occupé presque une année en arrière, un dossier sur lequel un sentiment personnel de revanche avait été mise à l'épreuve, te replongeant dans la situation de ton jeune  frère. Un lien fraternel qui avais pris fin brutalement tout cela à cause de la cupidité et la méchanceté humaine. Une absence qui reste gravé au fer rouge dans ta mémoire quand bien même de l'eau a coulée sous les points depuis. « Tu peux rester autant que tu veux, mais tu devrais peut être aller te sécher tu vas finir par attraper du mal. ». Lui dis-tu tout en t'aventurant dans la cuisine car au vue de l'heure, Mia ne tarderait pas à se réveiller. Une bonne demie-heure plus tard, la petite brunette qui fait ta fierté au quotidien s'approche du comptoir de la cuisine, son minois enfantin et souriant te considérant d'une œillade impatiente. « J'ai faim ! ». Tu hoches la tête sans te départir d'un rire amusé. «  Bien évidement, après avoir dormi une grande partie de la journée. ». Elle grimace légèrement et finit par poser ses coudes sur rebord du comptoir de la cuisine. Quelques mèches ondulées s'échappe de sa tresse, alors qu'elle pique un petit morceau de gruyère que tu t'apprêtais à râper. La gamine tourne la tête en direction de la salle de bain lorsqu'elle entend le bruit bruyant du sèche cheveux. Vos deux regards se croisent au même moment, en même temps qu'un sourire qui décline tout votre complicité père et fille. « On a une invitée ce soir, tu te souviens Clare ? ». La jeune femme avait déjà rencontrée ta fille et cette dernière semblait tout aussi bien l'apprécier. Une de plus, Mia hoche la tête sans quitter ce sourire mutin qui la caractérise. Au même instant, la porte s'ouvre sur Clare qui se joint à vous en s'installant aux cotés de la gamine. « Tu veux bien m'aider à  faire une mousse au chocolat ? ». L'interroge Mia en la considérant d'une expression sincère et souriante à la fois. La jeune femme te couve d'un regard entendu où un sourire chasse la crainte, emplissant un cœur d'une légèreté  dont elle semblait avoir besoin.

Dornan Je n'peux qu'approuver ce choix, il est
En tout cas, bonne chance pour ta fichette