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 whatever it takes {w/bartholomew}

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Gaïa Labonair
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Gaïa Labonair


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MessageSujet: whatever it takes {w/bartholomew}   whatever it takes {w/bartholomew} EmptySam 23 Mai - 19:46


{bartholomew & gaïa}

Gaïa a l'impression que les jours où elle ressort le dossier de sa mère sont toujours gris et pluvieux. Ca n'en reste pas moins Washington - il y pleut la plupart du temps. Aujourd'hui néanmoins, le vent s'est levé. Si Gaïa n'écoutait qu'elle, elle serait rester au lit. Ce n'est pas une journée qui inspire confiance - plutôt celle où il faut filer tête baissée dans les rues. Néanmoins, Gaïa n'est pas de ceux qui ignorent les problèmes. C'est cette personne acharnée qui se jette dedans la tête la première sans se soucier de comment les choses se termineront. Tous les matins, la brune affronte son reflet dans le miroir - voit les cernes sous ses yeux noisette depuis que son mari est parti, la cicatrice hideuse sur la peau tendre de son ventre. Elle passe de l'anti-cerne, enfile un pull et prétend que tout va bien en chargeant son pistolet dans son holster. Gaïa est forte et n'a peur de rien. Pas du mauvais temps, des présages qui flottent dans l'air. C'est pour cela qu'elle a décidé de joindre les forces de police ; parce qu'elle sait qu'elle est une de ces personnes capables d'arrêter un criminel sans ciller. Parfois, néanmoins, il y a de ces cas. Des petits délits, des princesses prétentieuses à protéger. Ce genre d'affaires qui l'ennuient profondément, qui s'opposent à tous ses principes et qui lui donnent envie d'aller voir son supérieur pour lui expliquer sa façon de voir le monde. Les forces de l'ordre doivent protéger la veuve et l'orphelin mais Gaïa - plus que tout - veut attraper ces meurtriers ; ces monstres qui se croient supérieurs au reste du monde pour se croire en droit de prendre une vie humaine. Elle veut les tendre à la justice, aider les petites filles à dormir mieux le soir en leur promettant que personne ne viendra leur faire du mal. Malheureusement, Gaïa n'a pas son mot à dire. Alors, elle serre les dents, laisse le travail ennuyant à sa partenaire et le ressort. Cet énorme dossier qui s'est épaissi au fil du temps, qui a pris une couleur jauni entre autres tâches de café renversé dessus et les morceaux cornés. Dedans, des brouillons, des rapports de police, des preuves accumulées au fil du temps sans parler des coupures de journaux qui relatent tous cet incident affreux qui a pris la vie d'une mère de deux enfants. Sa mère. Une fusillade en plein jour, des dizaines de témoins et pourtant des criminels qui courent toujours les rues. Une enquête classée faute de moyens. Aucune arme retrouvée, aucun crime avec le même procédé. Le néant. Ca n'empêche pas Gaïa d'explorer chaque option, atterrissant plus souvent sur des impasses qu'autre chose. Dernièrement, la jeune officière essaie de retrouver l'arme utilisée mais tout ce qu'elle a c'est une belle abîmée dont personne n'a jamais rien obtenu. Elle a été voir expert après expert sans rien trouver. Elle continue de chercher cette personne qui serait plus intelligente, plus expérimentée que les autres. Le prochain sur sa liste est un certain Bartholomew Sørensen - un norvégien dont la réputation n'est plus à faire d'après l'article qu'elle a lu sur lui. Il travaille à l'Institut - en haut de l'échelle - mais ce n'est pas ce genre de détails qui arrête Gaïa. Elle ferme le dossier d'un coup sec, le glisse dans son tiroir qu'elle ferme à clé avant de se lever et d'attraper sa veste. "J'ai un course à faire, je m'absente une heure." Lance-t-elle à sa partenaire sans attendre de protestation de sa part. Elle évite de la regarder droit dans les yeux - des chances que leurs vêtements volent dans toute la pièce. Les épaules droites, le regard déterminé, Gaïa marche la tête haut dans l'Institut et ne perd pas une seconde à repérer l'étage auquel elle doit se rendre. Elle montre son badge et prétexte une raison bidon qui explique sa présence. Elle ne demande l'autorisation à personne, se retrouve devant cette porte close, hésite une seconde, la preuve glissée dans la poche de sa veste comme un poids contre elle. Et puis elle ouvre la porte. Sans frapper. Sans s'excuser. Elle est trop fière ou désespérée pour cela. "Mr Sørensen ? Gaïa Labonair. J'ai entendu dire que vous étiez un meilleur dans votre discipline. J'ai une balle à faire analyser et personne capable de me donner les réponses que je veux. Est-ce que je perds aussi mon temps en venant m'adresser ici ?" Lance-t-elle sur un ton de défi pour ne pas montrer l'importance de l'information, pour ne pas montrer sa faiblesse. Première leçon qu'elle a appris l'institut de police, toujours prendre le dessus.
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Bartholomew Sørensen
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MessageSujet: Re: whatever it takes {w/bartholomew}   whatever it takes {w/bartholomew} EmptyLun 25 Mai - 23:02

N'avait-il jamais de temps afin de rentrer chez lui ? C'était ce que les stagiaires avec qui il devait travailler se demandaient chaque journée. Ils le voyaient, dans son bureau dès l'aube. Et le soir, alors qu'ils rentraient chez eux pour retrouver le confort de leur logement, ils pouvaient l'apercevoir dans cette même position, assis sur sa chaise en cuir, ou encore en train d'analyser les quelques ossements qui méritaient un certain traitement.  Bartholomew n'avait personne, dans son appartement. Aucun individu ne l'attendait. Il était cette seule âme qui se baladait, vagabondait dans les couloirs de son duplex, sans grand intérêt. Il n'était pas friand des émissions télévisées ou des télé-réalités dont le concept lui passait bien par dessus de la tête. Son quotidien était loin d'être intéressant, et pourtant, il y avait toujours ces regards admirateurs, ces prunelles illuminées qui se posaient sur sa carrure. Comme s'il était un homme de valeurs, que ses actions étaient comparables à cette perfection inexistante et inconnue. Il acceptait les compliments sans y faire trop attention, considérant souvent ces derniers comme des attentions particulières afin de rentrer dans ses bonnes grâces, et rien d'autres. De l'hypocrisie à l'état pur, qui faisait frémir de dégoût son échine. Ce matin-là, les stagiaires l'avaient cherché du regard. Contrairement à d'habitude, le Sørensen était marqué comme absent alors qu'il était censé être le premier sur les lieux. Les dix jeunes étudiants avaient une sorte d'examen à passer, ou plutôt un test, et Bartholomew devait les surveiller afin de voir s'ils ne faisaient pas trop de bêtises. Malheureusement, à cet avancée des études, ils n'étaient encore que des débutants, des nouveaux qui ne savaient pas s'y prendre. Néanmoins, il avait souvent entendu leurs discussions. Eux qui étaient si fiers de se retrouver à l'Institut de Washington, qui ne pouvaient qu'être honoré de se trouver dans un tel établissement dont la renommée dépassait tout ce qui était imaginable. Ils discutaient comme s'ils étaient convaincus qu'ils allaient tous rester dans le bâtiment, comme s'ils étaient sûrs qu'ils allaient être pris alors qu'ils savaient pertinemment que ce n'était pas le cas. Seulement une toute petite poignée allait avoir l'honneur d'intégrer le plus grand centre de Washington. Ils étaient tous compétitifs, alors ils se voyaient tous gagnants. Malheureusement, les choix de Bartholomew se faisaient déjà dans son crâne. Certes, il avait la possibilité de les changer selon les circonstances dans deux ans, les contextes... Mais pour l'instant, il voyait bien qui allait pouvoir s'adapter et qui allait perdre pied rapidement. Il y avait cette jeune femme, particulière. Blonde, roulement de la langue pour laisser échapper ses dires dans un accent d'Europe du Nord. Veera. Elle était dominante, celle qui savait absolument ce qu'elle voulait. Elle n'avait pas peur de ce qu'elle pouvait faire pour arriver première au classement, pour être en tête de peloton. Elle n'avait pas froid aux yeux, mais n'avait pas pris la peine de connaître les particularités de son adversaires. Bartholomew n'était en rien un homme comme on pouvait le décrire dans les articles ou dans les bouches d'autrui. Manipulateur, mythomane, égoïste sur les bords. Il ne faisait rien sans avoir quelque chose en retour, c'était une règle qu'il s'était imposé, une directive à suivre. Donner et recevoir. Rien n'était gratuit, et ses services si demandés ne faisaient pas exceptions à cet ordre. Assis sur la chaise, le regard baissé vers les papiers administratifs qui ornaient le bois de son bureau, il avait pour but de terminer le remplissage de ceux-ci afin de pouvoir profiter de sa nuit. Bartholomew n'était pas du genre à se coucher tôt. Et encore moins à se coucher seul. Depuis le décès de sa femme, il avait complètement changé. Lui, qui auparavant était doux et compréhensif, était devenu impulsif et bien moins patient. Il profitait de l'existence morose qui s'était bâti, vivant dans une débauche que personne ne pouvait concevoir, que personne n'imaginait liée à cet individu. Drogue. Sexe. Alcool. Voire pire. "Mr Sørensen ? Gaïa Labonair. J'ai entendu dire que vous étiez un meilleur dans votre discipline. J'ai une balle à faire analyser et personne capable de me donner les réponses que je veux. Est-ce que je perds aussi mon temps en venant m'adresser ici ?" L'enchaînement s'était déroulé si rapidement que ses prunelles n'eurent pas le temps de se lever dès lors qu'il entendit le bruit de la poignée. Quelques secondes après, si ce n'était millisecondes, il fit face à une jeune qui, admettons-le, semblait vive et bien sûre de ce qu'elle entreprenait. L'intonation employée lui fit lever un sourcil et poser le stylo qu'il tenait. Il jeta un dernier regard aux feuilles imprimées, se disant qu'il pouvait remettre ça à plus tard. Après tout, il était le sous-directeur du département, il avait les ficelles en mains. « Enchanté. » furent les seuls mots qu'il prononça avant de se lever. Il se dirigea vers la porte de son bureau, les mains dans les dos, puis la ferma correctement en jetant un coup d'œil à l'extérieur. Il revint aussitôt s'assoir sur son siège, sans aucun autre mot durant le trajet qui séparait les deux extrémités de la pièce. « Et vous venez de la part de quel... organisme, si je puis dire ? Police ? Cabinet d'avocat ? » Son ton se voulait las, indifférent et détaché. Même si sa curiosité le piquait. « A moins que vous ne veniez de votre propre chef ? » Les yeux du Sørensen se plantèrent dans le regard de son interlocutrice, le sourire en coins des lèvres. Cela l'arrangeait de recevoir des clients qui n'étaient sous aucun tampon officiel. Il n'était pas dans l'obligation de les prendre, et pouvait imposer ou du moins, mettre en avant, des compromis afin d'accepter ou non les requêtes. Il ne savait pas exactement ce qu'elle cherchait, mais si elle était assez déterminée pour avoir ces fameuses réponses, les négociations risquaient d'être fortes intéressantes. « Vous ne perdez pas votre temps, tant que vous vous remémorez bien que le fait que rien n'est fait gratuitement. Mais je suppose que vous le savez déjà. » Il tendit sa paume vers la demoiselle, signe qu'il voulait voir l'objet qu'il devait analyser. Il ne demanda pas plus d'informations quant aux circonstances, quant au contexte. Il pouvait le faire plus tard. Il l'obligerait, d'une façon ou d'une autre.
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Gaïa Labonair
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MessageSujet: Re: whatever it takes {w/bartholomew}   whatever it takes {w/bartholomew} EmptyMer 27 Mai - 19:35


{bartholomew & gaïa}

Gaïa comprend quel charisme on décrit à propos de Bartholomew Sørensen quand elle rentre dans son bureau. L'homme assis derrière la large surface dégage un respect d'où il se tient. Il ne sursaute même pas quand elle rentre dans son bureau sans y être invitée, note-t-elle, habituée à relever les petits détails qui en disent long sur une personne. Gaïa sait qu'elle n'est peut-être pas aussi douée pour le guerres psychologiques que d'autres mais elle a l'oeil, repère parfois ce que personne ne remarque. Dernièrement, quand tout ce qu'elle voit se résume à une seule et unique personne - une peau pâle, des lèvres pulpeuses, une mèche rousse de travers - elle regrette presque d'avoir acquis un si grand sens de l'observation au cours de sa formation à l'académie de police. Elle chasse vite ses pensées - elle n'a pas le temps pour ça, peut-être qu'elle n'a plus le coeur non plus (ce dernier atrophié dans sa poitrine). Elle ne laisse pas à l'homme le temps de réagir plus qu'il ne le voudrait, enchaine rapidement sur la raison de sa présence et garde un regard dur tout le temps, refusant de se laisser se marcher sur les pieds. On peut pousser Gaïa, essayer de l'écraser mais en retour, elle poussera toujours plus fort, ne sera peut-être pas assez grande et forte pour écraser mais elle fera des dégâts. Elle en fait toujours et ce une fois de plus sans se soucier des apparences. Le souffle un peu court, cela ne l'empêche pas continuer à fixer Bartholomew d'où il se tient, le défiant du regard - le défiant de la renvoyer ou d'appeler la sécurité. " Enchanté. " Se contente-t-il de répondre et Gaïa reste sur ces gardes. Elle n'a jamais eu d'affection particulière pour les gens haut placés. Le pouvoir leur monte à la tête, les pousse à croire qu'ils sont libres de faire ce qu'ils veulent sans se soucier de ceux qui se trouvent en-dessous. Et Gaïa vient lui demander ses faveurs, elle sait que cela la place sur la sellette - une place qu'elle apprécie encore moins. Elle traque chacun des mouvements de l'homme, l'observant se lever puis fermer la porte (elle ne peut s'empêcher de se tendre alors qu'il est soudain si près d'elle, comme un animal embusqué) avant de retourner s'asseoir à sa place. Gaïa n'hésite pas longtemps, elle fait quelques pas dans le bureau, vient se placer derrière une des chaises pour les invités. Elle ne s'assoit pas, se contente de le toiser du haut de ses un mètre soixante-dix et quelque. " Et vous venez de la part de quel... organisme, si je puis dire ? Police ? Cabinet d'avocat ? " Gaïa va pour répondre police, sans une seule hésitation. Peut-être réussirait-elle le coup de maître de faire croire qu'il s'agit d'une enquête officielle (dans ce cas, elle se dit aussi qu'elle perdrait son temps, il y a des procédures quand il s'agit d'officialité ; il n'y a sûrement personne qui débarque dans un bureau sans une once de politesse). Mais Bartholomew la surprend, fait tomber son masque de confiance en soi avec quelques mots. "A moins que vous ne veniez de votre propre chef ?" Il a un sourire en coin, son regard qui scrute le sien et Gaïa déteste cette sensation. Une envie de lui répondre sèchement ou de tourner le dos pour lui montrer qu'elle n'est pas là à supplier. "Je suis officier." Finit-elle par grincer des dents, les bras toujours croisés sur sa poitrine. " Vous ne perdez pas votre temps, tant que vous vous remémorez bien que le fait que rien n'est fait gratuitement. Mais je suppose que vous le savez déjà. " Il tend la main et Gaïa l'observe un instant avant de glisser ses doigts dans sa poche et de sortir le petit sachet qui contient la balle. Par arrogance, elle le pose sur le bureau. "S'il n'y avait pas de prix à payer, je pense que je perdrais mon temps avec vous mais si vous êtes assez doué pour réaliser que je ne suis pas là officiellement, vous avez sans doute plus de talent que je ne vous en donnais jusqu'à présent." Déclare-t-elle sèchement. "Et c'est à moi de vous rappeler qu'un service n'est rien en échange d'informations utiles. Si vous ne pouvez pas m'être utile, je ne pourrais rien pour vous en retour," Ajoute-t-elle, sur un ton toujours aussi froid. Elle est désespérée pour ces informations, elle le sait mais le montrer ne ferait que la mettre en position de faiblesse. Et elle n'est pas non plus idiote pour promettre la lune à un individu qui peut facilement se l'obtenir celle vu sa position. "C'est une balle perdue qui s'est enfoncée dans le béton d'un immeuble. L'homme plus qu'incompétent et très probablement idiot qui s'est chargé de la récupérer l'a endommagée un peu plus au cours de l'extraction. Personne n'a su me dire de quelle arme elle pouvait venir. Les autres balles qui ont été tirées ce jour-là n'ont pas donné de résultats satisfaisants. Aussi endommagées. Ma théorie est qu'ils ont pu utiliser des balles qui explosent au moindre contact. Ca expliquerait les dégâts mais on n'a jamais rien pu prouver." Elle se penche au-dessus du bureau, les deux mains fermement posées sur la surface. "Vous me trouvez l'information que je veux, je vous dois un service en échange." Conclut-elle d'une voix plus suave.
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